Tout d'abord, Place d'Italie à pied.

Toujours un régal d'être voiture dans Paris...
Ensuite, j'ai erré dans le Centre Commercial sans vraiment trouver quoi que ce soit: plus de soldes et les nouvelles collections sont à pleurer de tristesse.
Résultat, j'ai quand même trouvé un cadeau pour mon Valentin d'amour.

C'est intriguant, isn't it? On se demande ce que c'est... Surtout quand on n'a pas vraiment l'échelle (j'ai hésité à mettre une référence et puis non, c'était pas drôle... Je suis d'humeur badine aujourd'hui).
C'est ça la SAint Valentin à distance!! Faut assumer!
Bref. J'en avais plein les bottes. Après un rapide passage chez Yves Rocher (je ne trahis jamais mon ami Yves...), j'ai voulu retirer les billets.
Que nenni!!! De billets point. Car de billeterie point non plus! Fermée! Again! Flute de Pan! Qu'à cela ne tienne, me voilà filant Gare d'Austerlitz.

J'ai dû affronter une sacrée file d'attente avant d'avoir affaire à une bien gentille dame avec qui j'ai pas mal discuté de l'Eurostar... Ben oui, tant qu'à faire, autant avoir des billets nominatifs et au bon nom! Pour une fois que je pouvais faire ça. Oui, mon discours doit être sibyllin pour plus d'un, mais comme dirait l'autre "enfin j'me comprends"...
Me voici donc à la maison. Home sweet home! Alone... Oui bon, on peut pas tout faire. Pas grave, je vais jouer au poker et me faire un masque tiens!
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